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il y a 7 ans
La semaine dernière, pour ma fête qu’il n’oublie jamais, mon Maître m’a accordée une séance BDSM pendant laquelle j’avais le droit de choisir ce que j’avais envie qu’il me fasse. Cela a commencé par me poser un dilemme car nous n’avions jamais fait cela. Sa proposition m’a semblée saugrenue parce que ce n’est pas à la soumise de décider. Devant mes réponses orientées « soumise qui n’a pas à décider » sa réponse a été claire !
- Dans ma demande, ce n’est pas toi qui décide, c’est moi ! En me disant ce que tu as envie que je te fasse tu ne feras que répondre à mon ordre. J’espère pour toi que tu me feras plaisir et que ton comportement sera à la hauteur de mes attentes. Tu as jusqu’à ce soir pour y réfléchir.
Pendant cette journée, je n’ai pas été très efficace au travail, ma tête était ailleurs. Lorsque je suis arrivée à la maison, mon Maître était déjà là, chose qui n’arrive que très rarement. Il m’a indiqué avoir pris son après-midi pour préparer ma fête. Effectivement, il y avait mis tout son coeur, la table était mise avec des bougies, le dîner était prêt, dans le salon tous les instruments BDSM étaient sortis, rangés bien alignés sur le buffet. Il avait également mis des bougies un peu partout dans le salon, suspendu aux poutres sa barre de bondage ou contrainte et de la musique adaptée. Il m’a embrassée et immédiatement envoyée me doucher et me faire belle, sans oublier de préciser que je n’avais qu’une heure et que tout dépassement serait sanctionné.
Pour me préparer, j’ai fait de gros efforts pour être dans les délais car quand il m’annonce une éventuelle punition en cas de manquement, elle est toujours sévère et dure si je me loupe. Et puis, je ne voulais pas gâcher cette soirée qu’il me dédiait. Après m’être douchée et maquillée, j’ai mis des bas noirs et un porte-jarretelles, une robe sans manche adaptée à mes envies en oubliant volontairement le soutien-gorge assorti. Il a adoré ma tenue comme j’ai adoré son succulent repas aux chandelles. Après nous avoir servi le champagne en m’interdisant de me lever de table, il est venu derrière moi pour laisser ses mains caresses mes épaules, ma nuque avant de les laisser glisser sur ma poitrine tout en murmurant des mots d’Amour. Il m’a invitée à me lever, nous avons croisé les flûtes pour consommer nos « bulles », ses yeux brillaient du feu du désir. Marc m’a abandonnée un instant pour aller allumer les bougies du salon et mettre une autre musique. Quand il m’a prise par la main et guidée sur la scène de nos amours BDSM, j’étais déjà grisée.
-
J’attends tes désirs ma puce ! M’a indiquée Marc
-
Maître, si vous me le permettez, je vous guiderai au fur et à mesure.
-
Nous ferons donc comme tu le désires !
Plutôt que de parler, je suis allée me placer sous la barre de contrainte en positionnant mes mains sur les menottes. Il a immédiatement compris le message et m’a donc attachée debout bras écartés.
- Commencez s’il vous plait Maître par allumer mes sens avec douceur !
Ses mains sont devenues baladeuses, elles alternaient caresses et petits pincements de mes tétons à travers le fin rempart de tissu de ma robe. Il était plaqué contre mon dos, ses lèvres titillaient ma nuque et mes épaules en même temps. C’était sublime. J’étais totalement offerte à ses envies et en même temps c’était donc moi qui les dirigeait, c’était un peu perturbant.
- Maître, j’aimerai beaucoup que vous deveniez un peu plus goujat s’il vous plait !
Sa main gauche a attrapé mes cheveux pour tirer ma tête en arrière, sa droite s’est plaquée entre mes cuisses pour fouiller mon chaton. « Tu mouilles comme une salope en manque » m’a dit mon Maître en plantant ses dents sur mon épaule pendant que d’un doigt il me pénétrait sans douceur. Soudain, il a tiré sur ma robe et fait jaillir mes seins qu’il s’est mis à malaxer comme s’il pétrissait du main. Prise par le désir de plus, je frottais mes fesses contre son pantalon, il a soulevé ma robe pour les claquer en me traitant de « putain ». Il n’est pas vulgaire de nature et emploie rarement ce vocabulaire. Là, j’étais sur un nuage, cela ne me gênait pas, bien au contraire, c’était des mots d’Amour cachés derrière cette vulgarité volontaire. Il a écarté mes fesses pour sonder mon petit trou qu’il a f o r c é en me disant que je n’étais pas neuve de ce côté là, que je devais aimer ça. Si je ne suis pas opposée à la sodomie, je n’y prends que rarement du plaisir, il le savait mais jouait ce que je lui demandais, le goujat.
Et là, j’ai eu envie qu’il me fasse mal. Qu’il alterne les douceurs et la douleur pour me rendre folle. Comme je voulais vraiment lui appartenir je me suis jetée.
- Maître, si vous le permettez, j’ai envie que vous me fassiez mal, très mal, puis que vous alterniez en arrêtant le SM pour me câliner avec douceur. Que vous alterniez les deux à m’en rendre dingue. Bâillonnez-moi et si je crie, ne m’écoutez pas. Vous déciderez quand cela sera suffisant !
Il n’a pas répondu, il est allé chercher le bâillon. Avant de le poser, il est venu face à moi, il m’a embrassée et indiquée que j’allais souffrir. En guise de SM, il a caressé mon clitoris en me regardant droit dans les yeux. Marc a fait glisser ma robe puis l’a jetée sur le canapé en me disant que j’allais « morfler ». Quand je l’ai vu partir chercher un instrument, je n’ai pas voulu voir ce qu’il allait prendre, j’ai fermé les yeux. Un sifflement suivi d’un trait de feu sur les fesses m’a permis de comprendre que j’allais recevoir le fouet. En temps normal, il me « chauffe » avant, là, j’avais demandé de souffrir, qu’elle conne ! Les coups m’ont réellement fait mal. Je me tordais sous la barre dans les menottes. Soudain, il s’est plaqué contre mon dos et m’a caressée en déposant mille baisers dans mon cou, sur mes épaules. La douleur du fouet s’est envolée immédiatement, là où était tombée la lanière de cuir, il n’y avait plus que d’agréables fourmillements. C’était divin. Il m’a à nouveau abandonnée pour aller chercher quelque chose, quand son martinet est passé entre mes jambes pour s’abattre sur mon chaton j’ai hurlé, plus de peur que de mal mais quand même, c’était très fort. Sa main est venue l’apaiser, je m’y suis frottée comme un chat venant chercher la caresse.
Il a recommencé de claquer mon chaton, j’ai fini par serrer les jambes, ce sont mes seins qui ont reçu les coups de martinet. Il a jeté le martinet sur le canapé, pour baisouiller mes tétons tout en caressant mon chaton malmené. C’était magique comme sensation. Pour en avoir encore, je lui ai donné un petit coup de pied, il a immédiatement compris la provocation et m’a souri et dit « Ah tu veux jouer à ça, tu vas chanter ma belle ». J’ai pris TRES cher au martinet, sur les fesses, les seins, le sexe, j’aurai voulu dire stop mais c’était impossible. Quand il a repris la séquence câlins, j’ai cru jouir sur le champ rien qu’au contact de sa main entre mes jambes ! Alors j’ai recommencé mon jeu de provocation en lui donnant un autre coup de pied. Il m’a traitée de folle et a recommencé de me fouetter au martinet. Quand il l’a jeté sur le canapé, ce n’était pas pour des câlins, mais pour m’achever au fouet. Il a fait de l’enroulé très fort, des coups portés qui m’ont faite tirer si fort sur mes menottes que je ne touchais plus par terre. Je hurlais en mordant le bâillon à l’écraser tant j’avais mal. Quand il a recommencé ses douceurs, ses caresses, ses bisous doux, je n’étais plus qu’une loque soumise à ces sensations si perverses que génère le plaisir dans la douleur.
Alors dans un moment de folie, je lui ai redonné un coup de pied, il m’a simplement dit « non ça suffit » et m’a retiré le bâillon pour m’embrasser en caressant mon corps qui semblait recouvert de fourmis. Je voulais encore profiter de ces moments si intenses alors je lui ai demandé de me v i o l e r comme un sauvage, de prendre par derrière s’il le désirait. Pour que je lui propose aussi mon anus, c’est que j’étais vraiment dans les nuages cotonneux des plaisirs hard. Mon Maître a ajouté une barre entre mes jambes qu’il a bloquées avec des menottes de cheville. Il a fait descendre la barre maintenant mes bras écartées puis l’a reliée à celle de mes chevilles. J’étais debout, penchée en avant sans possibilité de me relever. Perchée sur mes tallons hauts, je ne pouvais pas être plus offerte.
Quand il m’a prise, j’ai cru défaillir de plaisir. Le sentir en moi m’a comblée au sens propre et figuré du terme. Accroché à mes hanches, il m’a pilonnée à me rendre folle et faite jouir plusieurs fois. Quand il m’a abandonnée, j’ai cru qu’il allait me libérer, mais non, mon sadique d’amour était allé chercher de quoi m’occire. Quand il a lubrifié mon anus et joué un peu avec son doigt inquisiteur, j’ai compris que j’allais avoir droit à la totale. J’étais loin du compte ! ! ! Dans l’état où j’étais, la pénétration anale est passée sans problème ni douleur, sauf qu’il a posé un vibro sur mon clito en même temps qu’il me sodomisait doucement. J’ai cru mourir. C’était trop fort. je lui ai demandé d’arrêter, il m’a répondu « v i o l e r c’est quand on veut pas ». Je me suis faite « casser le cul » par un démon, et je criais mon plaisir c’était bon. Jamais je n’avais éprouvé autant de sensations par cette voie. Quand il s’est retiré, mon anus était pris de contraction. Il continuait de vibrer de plaisir quand mon Maître est venu éjaculer dans ma bouche. Je l’ai bu comme si c’était du petit lait et ne me suis jamais sentie aussi « sienne ».
Quand il m’a libérée, il a fallut qu’il me porte jusqu’au canapé, je ne tenais plus debout. Sous son peignoir, mon corps avait encore des contractions. Il m’a apportée à boire, m’a parlée avec douceur avant de me dire que je ne pourrai pas aller chez mon kiné pendant un bon moment. Lorsque j’ai regardé mon corps le lendemain, j’ai pris conscience que j’avais été vraiment folle d’en vouloir encore et qu’il avait bien fait de me dire stop.
Ecrivaillon
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